Actualités

Rencontre avec Cécile Dumontier dans l’équipe de nos chasseurs de têtes

Cécile Dumontier a rejoint notre équipe de chasseurs de têtes en avril dernier.

Découvrez son parcours et sa vision du métier de chargée de recherche.

Cécile Dumontier - Abaka

Peux-tu te présenter ?

Je suis ingénieur en alimentation et santé, spécialisée en marketing, communication et vente (LaSalle Beauvais). Après un stage de fin d’études en category management au sein de Ferrero France, j’ai pris mes fonctions en tant que chef de secteur chez Bonduelle. Il m’importait beaucoup de pouvoir connaître la réalité du terrain avant de me diriger ensuite vers d’éventuelles fonctions support. Ce n’était pas pour moi une étape obligatoire comme on l’entend souvent, mais un poste important pour pouvoir mener à bien mon travail par la suite. Pour faire le parallèle avec ma carrière aujourd’hui, c’est la même chose pour le consulting RH d’être chargé de recherche pour devenir une meilleure consultante.

Deux ans plus tard, j’ai ensuite suivi mon époux lors de différentes mutations sur des bassins d’emploi assez peu dynamiques dans l’agroalimentaire. C’est pourquoi je me suis orientée vers des fonctions commerciales dans le textile en magasin. J’y ai beaucoup appris en matière d’esprit d’équipe, d’organisation, de multiplicité des tâches au quotidien et de la relation clients.

Nous nous sommes ensuite installés à Rennes, il y a un peu plus de deux ans maintenant. Je poursuivais alors mon projet de réorientation, avec, depuis quelques mois, l’idée que les ressources humaines étaient peut-être faites pour moi. J’avais en effet envie de tourner ma carrière vers l’humain et les savoir-être que j’avais révélés et développés lors de mes précédentes expériences me laissaient penser que je pourrais m’épanouir dans le recrutement. J’ai donc lancé mon processus de reconversion, accompagnée par un cabinet via le service RH de mon époux. A l’occasion de mon enquête métier, où je cherchais à mieux appréhender le métier de chargée de recherche dans différents types de structures (entreprises, cabinets de recrutement et agences d’intérim), j’ai croisé une première fois la route d’Abaka lors d’un rendez-vous avec Jérôme.

Après une première expérience du recrutement, dans une société d’intérim, j’ai été approchée par Pauline pour un poste qui correspondait à mes aspirations et à mon projet de reconversion.

Qu’est-ce qui t’a donné envie de rejoindre Abaka ?

Le poste en lui-même tout d’abord. Je souhaitais intervenir en cabinet, notamment sur des recrutements à forts enjeux, sur des fonctions structurantes, comme c’est le cas chez Abaka.
Au-delà de la typologie des missions qui sont confiées au cabinet, j’avais également été séduite par l’image d’Abaka et par les valeurs qui semblaient s’en dégager : engagement territorial, engagement éthique, démarche non discriminante, confiance, conseil, etc. J’ai aussi été convaincue par le caractère innovant qui règne au cœur d’Abaka. Il est attendu des collaborateurs qu’ils s’informent sans cesse, qu’ils soient capables de se remettre en question et qu’ils sachent évoluer dans leurs pratiques et dans leurs idées. Je trouve cela très stimulant et valorisant.

Enfin, j’ai pu déceler lors de ma journée d’immersion un fort esprit d’équipe entre les collaborateurs. J’ai aimé la qualité de l’accueil lors de mes venues, que ce soit il y a 2 ans et plus récemment. Cela traduit un état d’esprit qui me plait.

Quelle est ta vision du métier de chargé de recherche ?

Je pense que c’est avant tout un travail de fourmi, consistant à aller chercher la perle rare qui va correspondre à la demande du client. Pour y parvenir, il faut faire preuve d’un grand sens du service, d’esprit d’équipe ainsi que de rigueur et de sérieux car le consultant nous fait confiance sur la phase amont du recrutement. C’est un métier responsabilisant, placé au cœur de la stratégie du cabinet. C’est très satisfaisant.

Comment vois-tu ton métier évoluer dans 10 ans ?

Je n’ai probablement pas assez de recul pour pouvoir prédire ce que sera ce métier dans 10 ans mais, c’est certain, les nouveaux moyens de communication vont continuer de modifier la façon dont nous l’exerçons. Tout le monde (ou presque !) est inscrit sur au moins un réseau social et, quoi qu’il arrive, ils sont et seront utilisés à des fins professionnelles.

Je pense également que le rôle des cabinets comme Abaka restera majeur, notamment sur les profils dits pénuriques. En effet, la tension sur certains métiers ne fait que s’accentuer. Demain, nous serons probablement amenés à travailler davantage dans l’anticipation, à étudier le marché de l’emploi et à soigner encore plus la relation que nous entretenons avec les candidats.

De quoi ne pourrais-tu pas te passer pour exercer ton métier ?

D’internet et de mon téléphone qui me permettent de contacter les candidats. Et aussi, bien entendu, de mes collègues. Je pense que plusieurs cerveaux valent mieux qu’un et que l’entraide compte beaucoup dans un métier comme le nôtre.

Quel est ton réseau social préféré ?

LinkedIn est le réseau que j’utilise le plus spontanément, probablement parce que mon réseau de contacts y est présent et surtout actif. Je suis également à l’aise avec l’ergonomie du site, qui me convient pour rechercher des candidats ou des contacts, et qui me plaisait aussi lorsque j’étais en recherche d’un poste.