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A la rencontre de notre équipe recrutement – Découvrez le portrait de Carole Lavigne

Carole est passionnée d’histoire, de géographie et croit beaucoup à l’importance du partage et de la solidarité. Il y a quelques mois, elle a rejoint notre équipe recrutement en Bretagne avec un projet : favoriser les rencontres entre canditat·e·s et entreprises partageant des projets communs. Dans cette courte interview, elle nous parle de son métier de recruteuse et de ce qui compte pour elle dans sa relation avec les candidat·e·s et les client·e·s.

Carole Lavigne

A la rencontre de Carole Lavigne, chargée de recherche et spécialiste du recrutement

Peux-tu te présenter en 3 points clés ?

Je retiens trois moments assez précis qui m’ont construite jusqu’ici :

1 – Je suis partie en Erasmus en Espagne, à Valence, il y a quelques années. Voyager et étudier à l’étranger, c’est partir pour partager et avoir la chance de rencontrer des personnes qui partent elles aussi pour s’ouvrir à d’autres environnements, cultures, manières de vivre et de travailler. C’est une expérience qui m’a donnée l’opportunité de dépasser mes appréhensions face à l’inconnu et de découvrir d’autres moyens de communiquer. C’est ce que j’apprécie dans le métier de chargé·e de recherche : apprendre de l’autre et partager un moment avec lui·elle. Tous les jours, je suis en contact avec des personnes ayant des expériences diverses et variées, c’est extrêmement nourrissant.

2 – Mon entrée en hypokhâgne a été pour moi l’occasion de rencontrer des gens passionnés et investis. Personnellement, l’Histoire et la Géographie étaient mes sujets de prédilection. Aujourd’hui, dans mon environnement professionnel, je retrouve autour de moi cette envie et cet amour du métier, qui pousse aussi à apprendre toujours plus et à partager davantage.

3 – Après mon baccalauréat, ne sachant pas vers quelle orientation me tourner, j’ai eu la possibilité de pouvoir essayer plusieurs voies : hypokhâgne, le droit et enfin, les ressources humaines. Ce tâtonnement, les stages et l’alternance au sein de différentes structures m’ont permis d’affiner mes envies professionnelles et notamment celle d’intégrer un cabinet tel qu’Abaka.

Dans la vie comme au travail, nous maîtrisons certains éléments mais nous ne contrôlons pas tout et il ne faut pas avoir peur de ce que nous ne maîtrisons pas.

 

Qu’est-ce qui t’a donné envie de rejoindre Abaka ?

Lors de mes études en RH à l’IGR, le cabinet nous a été présenté. J’en retiens une vision du métier qui m’a interpellée. Le recrutement peut être vu comme une véritable expertise ; c’est ce que j’ai décelé dans la vision d’Abaka et c’est la coloration que je souhaitais donner à ma carrière.

Et puis, l’ancrage territorial du cabinet, avec un rayonnement national, m’a également convaincue. Je pense que c’est en travaillant avec son écosystème que l’on peut réaliser de belles choses.

 

Si tu devais résumer ton métier à une idée, laquelle serait-elle ?

Notre mission est d’aider l’entreprise à trouver la personne dont elle a besoin, en phase avec ses valeurs, sa culture d’entreprise et ses projets de développement. Et pour cela, l’écoute et le partage sont des éléments essentiels dans notre métier pour comprendre :

  • le besoin des client·e·s grâce aux éléments de contexte et aux précisions apportées par les consultant·e·s avec lesquel·le·s nous travaillons au quotidien.
  • les attentes des candidat·e·s au travers des éléments qu’il·elle·s nous communiquent lors de nos échanges.

 

Quelle est selon toi la principale évolution à venir sur le métier de chargé·e de recherche ?

Dans beaucoup de métiers et de secteurs d’activités, les candidat·e·s sont aujourd’hui en « position de force ». La tension est telle que les entreprises peinent à recruter alors qu’elles sont nombreuses à le vouloir et que les candidat·e·s avec lesquel·le·s nous travaillons peuvent régulièrement choisir entre plusieurs opportunités (ou décider de rester dans leur entreprise). Et, au regard du marché actuel, je pense que cela va s’accentuer. C’est pourquoi les notions de compétences transversales et transférables sont importantes à mes yeux. L’un des challenges sera d’amener les entreprises à s’ouvrir davantage à ces profils qui sortent de leur cahier des charges « idéal ».

 

De quoi ne pourrais-tu pas te passer pour exercer ton métier ?

La solidarité qui règne au sein de l’équipe recrutement chez Abaka est très précieuse. Que ce soit au sein des binômes consultant·e / chargé·e de recherche que nous construisons pour chaque mission ou au sein de l’équipe des chasseur·se·s de têtes d’Abaka, il y a toujours quelqu’un avec qui échanger sur les difficultés rencontrées. C’est aussi ce qui donne du sens au quotidien.

 

Merci à Carole pour cet entretien et bienvenue à elle dans l’équipe des Abakacien·ne·s !

 

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